Un Groupement d’Employeurs pour l’Insertion et la Qualification (GEIQ) permet d’offrir aux personnes éloignées de l’emploi une formation qualifiante rémunérée et reconnue, et les accompagner vers un emploi stable à l’issue de leurs parcours. C’est le défi que le tissu agroalimentaire de la zone d’emploi Marseille – Aubagne est en train de relever.

L’ARIA SUD, après avoir mené une étude de faisabilité avec le soutien de la DIRECCTE PACA d’un GEIQ agroalimentaire sur ces territoires, a invité les entreprises intéressées à s’engager dans un GEIQ. Le GEIQ Provence a été sélectionné par l’ARIA Sud et vient d’embaucher 11 candidats éloignés de l’emploi. Ils seront mis à disposition de 5 industries alimentaires adhérentes au réseau Food’in Provence-Alpes-Côte d’Azur, via un dispositif d’alternance entre apprentissages théoriques et situations concrètes de travail, porté par l’IFRIA Sud.

L’ARIA Sud est convaincue par la pertinence de cette solution de recrutement encore mal connue, afin de faire face aux difficultés de recrutement. Pour plus d’informations, cliquez ici.

JEUDI 8 AVRIL 2021 DE 10H30 A 12H EN VISIO

Un habitant sur dix en région Sud est en difficulté préoccupante face à l’écrit, dont la moitié est en emploi. Trop souvent invisible et taboue, la question de l’illettrisme au travail mérite d’être abordée collectivement, dans une optique de montée en compétences et de gain de compétitivité.

Le tissu industriel alimentaire régional s’engage sur cet enjeu sociétal, notamment via le Groupe Technique Agroalimentaire de FORC Emploi 84, une initiative participative initiée par le Préfet de Vaucluse Bertrand GAUME et pilotée conjointement par l’ARIA Sud et la Région Sud – Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Ce webinaire organisé par la CCI de Vaucluse s’inscrit dans cette démarche et permet aux entreprises agroalimentaires régionales de mieux appréhender et traiter la problématique de l’illettrisme en entreprise.

Le lien pour s’y inscrire  est ici

Participez aux Journées export agro du 29 mars au 2 avril 2021. Cet événement gratuit, 100% digital, est organisé par le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation et ses partenaires nationaux et régionaux pour les entreprises agroalimentaires.

Plusieurs séquences permettront la diffusion d’informations et les échanges :

• 5 conférences thématiques sur des enjeux clés de l’export dont celle sur l’exportation collaborative le 2 avril de 14h à 15h30 au cours de laquelle Franck CHAULVET, expert-réfèrent à l’export de l’ARIA Sud et Sylvie BURCZAK, Responsable Commerciale Export de François DOUCET CONFISEUR, témoigneront du programme d’accompagnement à l’export par le mentorat mis en œuvre par l’ARIA Sud, l’AREA Normandie et l’ANIA.
• 11 sessions d’informations marchés sur les pays suivants : Espagne, Italie, Belgique, Allemagne, Suisse, Arabie Saoudite/Emirats Arabes Unis, Royaume-Uni, Etats-Unis, Japon, Chine
• 1 journée dédiée à des rendez-vous en ligne privatifs de 20 min avec des experts présents dans plus de 25 pays

Les inscriptions sont ouvertes sur le site web de l’évènement.

Une vidéo de présentation est téléchargeable via ce lien.

Appel à manifestation d’intérêt : Besoins alimentaires de demain

Dans le cadre des travaux de la stratégie d’accélération “alimentation durable et favorable à la santé”, l’Etat vient de publier l’AMI “Besoins alimentaires de demain”. Il porte sur 3 thématiques :
– des aliments plus sains et plus durables ;
– des nouveaux outils (notamment numériques) pour répondre aux besoins des consommateurs ;
– la formation et l’emploi.

Consultez le sur : https://www.bpifrance.fr/A-la-une/Appels-a-projets-concours/Appel-a-manifestation-d-interet-Besoins-alimentaires-de-demain-51861.

Téléchargez le cahier des charges en cliquant ici.

Cet AMI est ouvert jusqu’au 28 mai 2021 à 12 heures.

Selon l’édition 2021 du baromètre de consommation et de perception des produits biologiques en France, la région Sud est sensiblement sous représentée en consommateurs et acheteurs de produits bio et le prix des produits y tient une place prépondérante dans leur comportement d’achat :

• Parmi les habitudes alimentaires des habitants de la région Sud, si le prix est un critère important, ils accordent également une attention particulière à manger des produits sains et variés et à cuisiner des repas faits maison (et cela significativement auprès des consommateurs bio de la région, comme au niveau national).
• Parmi les engagements les plus importants pour eux, on relève l’appétence pour l’achat de produits locaux (50% des citations des habitants de la région), pour la consommation de produits de saison (47%), ainsi que le fait d’éviter les pertes et le gaspillage (48%), cependant à des scores légèrement en deçà de ceux déclarés par les Français au niveau national.
• En revanche, ils sont plus nombreux que l’ensemble de la population à avoir modifié leurs comportements alimentaires au cours des 3 dernières années et de manière plus prononcée chez les consommateurs bio (74% vs 64% de l’ensemble national). Dans le détail, on retrouve parmi les raisons évoquées : éviter les pertes et le gaspillage, acheter des produits de saison, privilégier les produits locaux et cuisiner davantage, toutes ces dimensions étant citées par plus de la moitié des habitants de la région Sud ayant déclaré avoir modifié leurs habitudes alimentaires. Les consommateurs de produits bio suivent la même tendance.
• En comparaison à l’échelle nationale, moins de personnes citent avoir acheté des produits respectueux de l’environnement et limiter leurs achats de produits importés. Si le premier confinement a bousculé les habitudes d’un tiers d’entre eux (et où ils déclarent avoir cuisiné davantage), le 2^ème confinement semble avoir eu moins d’impact sur leur comportement alimentaire.
• Le profil des habitants de la région Sud est en tendance légèrement plus âgé que la moyenne nationale. Historiquement dans ce baromètre, ce sont généralement les personnes les plus âgées qui sont les moins consommateurs bio. Ce résultat se confirme puisqu’en comparaison à l’ensemble du territoire, les consommateurs bio mensuels sont les moins nombreux (66% vs 73% des Français en consomment au moins une fois par mois). Et près de 2 habitants sur 10 n’en consomment jamais. Ce score est également le plus bas à l’échelle nationale.
• En toute logique, du fait d’une forte corrélation entre les consommateurs et les acheteurs bio, près d’un quart n’en achètent jamais. Ce taux de non acheteurs est également le plus élevé de France (24% pour la région vs 17% pour l’ensemble national).
• En revanche, le taux de nouveaux entrants est à un niveau honorable (17% de consommateurs de moins d’un an), signe que les choses commencent à bouger. D’autant plus qu’une des principales raisons de consommation est de préserver sa santé. Ce résultat est significativement élevé et peut s’expliquer par le contexte sanitaire actuel.
• Le prix reste, quant à lui, le principal frein à consommer plus de produits bio, suivi par le fait qu’ils ont des doutes que les produits soient totalement bio.
• Parmi les consommateurs, la GMS, comme au niveau national, reste de loin le circuit de distribution privilégié, et sa fréquence de visite (en dehors du drive) a eu tendance à diminuer pendant le confinement. Les consommateurs bio de la région apparaissent moins séduits par les producteurs locaux, la ferme qu’ils fréquentent moins souvent que l’ensemble des Français. Et ils veillent une nouvelle fois aux prix des produits lors de leurs achats, ainsi qu’à la restriction d’additifs et le goût des produits comme critère d’achat.

Pour plus d’informations, téléchargez la Synthèse régionale – PACA Janvier 2021 – Etude Spirit Insight pour l’Agence Bio

La Région a voté un plan de reconquête post Covid 19, dont un axe majeur est de développer la souveraineté alimentaire. Elle ouvre un appel à propositions pour contribuer à ce plan, à travers l’accélération du financement des projets des entreprises de transformation et de commercialisation de produits agricoles ayant un lien fort avec le monde rural ou un lien en matière d’approvisionnement avec la production agricole régionale.

Pour consulter ce dispositif :  https://europe.maregionsud.fr/les-appels-en-cours/appels-en-cours-programme-feader/

Comment bien préparer votre projet ? Etre en confiance avec un consultant proche de vous ? Est ce la clé d’un projet réussi ? Comment éviter les pièges, maîtriser les dérives ?

VIF vous propose un webinar le jeudi 25 mars à 11h00 pour répondre à vos questions.

Inscrivez-vous au webinar en cliquant ici.

Donner du sens au travail et performer dans l’atelier, les deux sont liés !

VIF vous propose de participer à un webinar le jeudi 4 mars à 11h00.

Prendre en main facilement l’outil informatique et rendre fiers les opérateurs, réduire le turn-over, augmenter la performance…

Découvrez comment un logiciel MES pérennise vos démarches d’amélioration continue

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La nouvelle édition du Panorama des IAA, réalisée sous l’égide de Jean-Marc Callois, délégué ministériel aux IAA, vient de paraître.

Le secteur agroalimentaire doit relever de très nombreux défis conjoncturels et structurels : transition écologique et environnementale, reconquête de parts de marché à l’export, nouvelles attentes des consommateurs, modernisation de son potentiel industriel, révolution numérique, adaptation des compétences, attractivité des métiers… Ainsi, cette nouvelle édition du Panorama des industries agroalimentaires dresse un état des lieux de ces thématiques et présente les grandes tendances et opportunités de croissance du secteur, ainsi que les politiques publiques destinées à l’accompagner dans son développement.

Ce document très complet, présente aussi de façon synthétique les chiffres clés de la première industrie du pays. Il est préfacé par Julien Denormandie.

Il est consultable sur le site internet du ministère à l’adresse suivante : https://agriculture.gouv.fr/le-panorama-des-industries-agroalimentaires